Référence sur les commandes

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db2licm - Clarification des paramètres de commande de l'outil de gestion des licences

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Cette mise à jour de documentation s'applique au paramètre -p de la commande db2licm. Le |mot-clé MEASURED n'est plus valide ; il est ignoré par DB2.

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Exemple TSM de commande RESTORE DATABASE

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Les options TSM doivent être mises entre apostrophes dans l'exemple relatif à TSM |(exemple 6). L'exemple correct est le suivant :

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db2 restore db sample use TSM options "'-fromnode bar -fromowner dmcinnis'"
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Exemples d'utilisation db2demigdbd

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Les exemples de l'utilisation de |db2demigdbd suivants sont classés par système d'exploitation.

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Pour migrer des fichiers répertoire système des bases de données sur UNIX |et Linux :

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 db2demigdbd $HOME/sqllib 1 
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Pour migrer des fichiers répertoire système local des bases de données sur |UNIX et Linux : |

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 db2demigdbd  ~/user/NODE0000  1 
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Pour migrer le système et tous les fichiers répertoire des bases de |données locales dans l'instance sur UNIX et Linux :

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 db2demigdbd  $HOME/sqllib  2 
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Pour migrer les fichiers répertoire système des bases de données sur |Windows :

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 db2demigdbd  d:\sqllib\db2  1 

db2 est l'instance en cours.

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Pour migrer des fichiers répertoire système local des bases de données sur |Windows : |

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 db2demigdbd  d:\db2\NODE0000  1 
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Pour migrer le système et tous les fichiers répertoire des bases de données |locales dans l'instance sur Windows :

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 db2demigdbd  d:\sqllib\db2 2 
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Remarques sur l'utilisation :

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Une fois la commande |db2updv8 exécutée pour mettre à jour les catalogues système |au niveau de la version 8 actuelle, vous ne pouvez pas revenir à la version |8.1.

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Informations supplémentaires :

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Pour un exemple d'exécution de la commande dans un environnement DPF (Database |Partitioning Feature), reportez-vous à la note technique du site Web suivant : http://www.ibm.com/support/docview.wss?rs=71&uid=swg21217949

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Correction des remarques d'utilisation de la commande db2ckbkp

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L'option '-p' affiche le nombre de pages de chaque type d'objet. Toutefois, |le résultat de la commande db2ckbkp avec l'option |'-p' n'affiche pas le nombre de pages de tous les différents types d'objet si |la sauvegarde a été réalisée pour les données d'espaces table DMS. Dans ce cas, |il affiche uniquement le total de toutes les pages |sous SQLUDMSTABLESPACEDATA. |La valeur zéro s'affiche pour SQLUDMSLOBDATA |et SQLUDMSLONGDATA pour les espaces table DMS.

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Voici un exemple de section de résultat de la commande |db2ckbkp -p avec une sauvegarde réalisée pour les données |d'espaces table DMS :

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      SQLUDMSTABLESPACEDATA (0c):  87 
|      SQLUDMSLOBDATA (0e):          0 
|      SQLUDMSLONGDATA (0f):         0                              
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Conventions de dénomination pour des objets de base de données et des ID

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Les conventions suivantes s'appliquent pour la dénomination d'objets gestionnaire de bases de données, |tels que des bases de données et des tables.

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Les conventions suivantes s'appliquent pour la dénomination des ID |utilisateur et ID d'authentification.

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Commande REORGCHK

Les formules statistiques de l'index utilisées dans la commande REORGCHK ont été modifiées. Les nouvelles formules et leurs explications sont les suivantes :

Remarque :
Toutes les formules se basent sur des statistiques. Les statistiques et les résultats de ces formules ne sont que des estimations. Vous devez garder cette information en tête lorsque vous étudiez les résultats de REORGCHK.

Commande REORG INDEXES/TABLE

Permet de réorganiser un index ou une table.

L'option du nom de table REORG INDEXES ALL FOR TABLE lance la réorganisation de tous les index définis dans une table à l'aide d'une reconstitution des données d'index dans des pages contiguës physiques non fragmentées. Si vous indiquez l'option CLEANUP ONLY de l'option d'index, le nettoyage est effectué sans reconstitution des index. Si vous tentez d'utiliser cette commande sur les index de tables temporaires déclarées, une erreur SQLSTATE 42995 sera retournée.

L'option de nom de table REORG TABLE permet de réorganiser une table en reconstituant les lignes afin d'éliminer les données fragmentées et en comprimant les informations. La réorganisation de la table est effectuée à l'aide d'une des méthodes suivantes :

Classique
Autorise uniquement un accès limité en lecture seulement aux données au cours des premières phases de la réorganisation.
Interne
Autorise l'accès aux données tout au long de la réorganisation mais sans pouvoir garantir l'exactitude de l'ordre des données. La réorganisation de table interne est autorisée uniquement sur des tables avec des index de type 2 et sans index étendus.

Lorsque vous choisissez un type de réorganisation, les index de la table sont reconstitués après la réorganisation de la table. Toutefois, avec cette méthode interne, l'index ne sera pas parfaitement réorganisé et vous devrez probablement réorganiser les index ultérieurement afin de réduire la fragmentation de l'index et de réclamer l'espace objet d'index.

Exemple

Pour une réorganisation REORG TABLE classique (hors connexion) comme celle définie par défaut dans la version 7 de DB2 Universal Database (UDB), saisissez la commande suivante :

   db2 reorg table employee index empid allow no access indexscan 
      longlobdata
Remarque :
Les valeurs par défaut sont différentes dans la version 8 de DB2 UDB.
Remarques

DB2 UDB fournit deux méthodes de réorganisation de tables : classique et interne. En règle générale, une réorganisation de table classique est plus rapide, mais doit être utilisée uniquement si vos applications fonctionnent sans accès en écriture aux tables pendant la réorganisation. Si votre environnement n'autorise pas cette restriction, bien que la réorganisation interne soit plus lente, elle peut s'effectuer en arrière-plan alors que les accès aux données se poursuivent normalement.

La réorganisation de table classique fournit la réorganisation de table la plus rapide, particulièrement si vous n'avez pas besoin de réorganiser les données LOB ou LONG. En outre, les index sont reconstitués dans un ordre parfait après la réorganisation de la table. Les applications en lecture seulement peuvent accéder à la copie originale de la table excepté au cours des dernières phases de la réorganisation, dans lesquelles la table permanente remplace la copie répliquée de la table et les index sont reconstitués.

La réorganisation de table interne est plus lente et ne garantit pas l'ordre parfait des données mais elle autorise l'accès à la table aux applications pendant le réorganisation. En outre, la réorganisation de la table interne peut être suspendue et reprise ultérieurement par quiconque ayant les droits d'accès appropriés à l'aide des schémas et noms de table.

Restrictions actualisées

L'utilitaire REORG ne prend pas en charge l'utilisation d'alias.

Commande BACKUP DATABASE

Remarques

Prenez connaissance des restrictions suivantes :

Migration des bases de données

Restrictions

La documentation de la version 8 indique de façon ambiguë qu'aucune migration de base de données n'est requise si la base de données a été migrée vers un niveau de FixPak de la version 8 de DB2 UDB. Plus précisément, la migration de base de données n'est pas requise entre fixpaks si la base de données est à un niveau de version 8 (version 8.1 ou 8.2 ou un fixpak ultérieur). Des modifications ayant été apportées à la structure de fichiers du répertoire de base de données dans la version 8.2, la migration est effectuée automatiquement lorsque vous passez de la version 7 ou de la version 8.1 à la version 8.2. En revanche, si vous passez de la version 8.2 à la version 8.1, vous devez exécuter db2demigdbd pour restaurer la structure de fichiers du répertoire de base de données. Si vous n'effectuez pas cette opération, vous recevrez l'erreur SQL10004 lorsque vous tenterez d'accéder à la base de données.

db2inidb - Initialisation d'une commande de base de données miroir

Ne lancez pas la commande db2 connect to base de données avant db2inidb base de données en tant que commande miroir.

Toute tentative de connexion à une base de données miroir démultipliée avant de l'initialiser efface les fichiers journaux requis pour la récupération aval.

La connexion restaure la base de données à l'état dans lequel elle était lorsque vous l'avez mise en suspens. Si la base de données est marquée comme étant cohérente au moment de sa mise en suspens, DB2 Universal Database conclut qu'il n'est pas nécessaire de procéder à une récupération sur incident et vide les journaux à des fins d'utilisation ultérieure. Si cette situation se produit, toute tentative de récupération aval génère une erreur SQL4970.

Remarque sur l'utilisation de la commande db2iupdt

A partir de la version 8.2, lorsque vous mettez à jour une instance DB2 Universal Database avec la commande db2iupdt, vous devez d'abord arrêter tout processus DB2 s'exécutant sur cette instance.

Nouveau paramètre pour la commande db2sqljcustomize

La commande db2sqljcustomize est dotée d'un nouveau paramètre

db2sqljcustomize - Commande du personnaliseur de profils SQLJ DB2

-storebindoptions
Permet de stocker les valeurs de -bindoptions et de -staticpositioned dans le profil en série. Si ces valeurs ne sont pas spécifiées lors de l'appel de l'outil dbsqljbind, les valeurs stockées dans le profils sérialisé seront utilisées. Lorsque le personnalisateur est appelé avec le fichier .grp, les valeurs sont stockées dans chaque fichier .ser individuel. Les valeurs stockées peuvent être visualisées à l'aide de l'outil db2sqljprint.

Nouveau paramètre pour la commande sqlj

La commande sqlj est dotée d'un nouveau paramètre

sqlj - Commande du traducteur SQLJ de DB2

-db2optimize
Spécifie que le traducteur SQLJ génère du code pour une classe contextuelle de connexions optimisées pour DB2 Universal Database. Cette option optimise le code pour le contexte défini par l'utilisateur, mais pas pour le contexte par défaut. Lorsque vous exécutez le traducteur SQLJ avec cette option, le fichier db2jcc.jar du pilote JDBC DB2 Universal doit se trouver dans le chemin de classe CLASSPATH pour pouvoir compiler l'application Java générée.

Mises à jour de la commande de surveillance et d'identification des incidents (db2pd)

La commande DB2 de surveillance et d'identification des incidents (db2pd) extrait des informations des ensembles de mémoire DB2 UDB. Les améliorations apportées à la commande db2pd sont les suivantes :

Nouveau paramètre -hadr

Introduit dans la version 8.2 (équivalent de la version 8.1, FixPak 7), le paramètre -hadr rapporte les informations de reprise après incident de haute disponibilité (High Availability Disaster Recovery). Une description de chaque élément rapporté se trouve dans la section High availability disaster recovery du manuel System Monitor Guide and Reference.

Nouveau paramètre -utilities

Introduit dans la version 8.2 (équivalent de la version 8.1, FixPak 7), le paramètre -utilities rapporte les informations d'utilitaire. Une description de chaque élément rapporté se trouve dans la section Utilities du manuel System Monitor Guide and Reference.

Nouveau paramètre -activestatements

Introduit dans la version 8.2.2 (équivalent de la version 8.1, FixPak 9), le paramètre -activestatements rapporte les informations relatives aux instructions actives. Les informations renvoyées sont les suivantes :

AppHandl
Descripteur de l'application utilisant l'instruction active, y compris le noeud et l'index.
UOW-ID
Pour l'application associée à AppHandl, identificateur d'unité de travail dans lequel l'instruction est devenue active.
StmtID
Identificateur de l'instruction dans l'unité de travail.
AnchID
Identificateur de l'ancre de SQL dynamique de cache de package.
StmtUID
Identificateur de l'instruction SQL dynamique de cache de package unique dans l'ancre.
EffISO
Niveau d'isolement effectif de l'instruction.
EffLockTOut
Valeur de temporisation de verrouillage effectif pour l'instruction.
EffDegree
Degré de parallélisme effectif de l'instruction.
StartTime
Heure à laquelle l'instruction a été lancée.
LastRefTime
Dernière référence à l'instruction par l'application.

Nouvelle option wait pour le paramètre -locks

Avec la version 8.2.2 (équivalent de la version 8.1, FixPak 9), vous pouvez désormais indiquer l'option wait avec le paramètre -locks pour renvoyer uniquement les verrous en attente et les verrous attendus.

Nouveaux champs renvoyés par le paramètre -applications

Avec la version 8.2.2 (équivalent de la version 8.1, FixPak 9), le paramètre -applications renvoie désormais quatre nouveaux champs :

C-AnchID
Ce nouveau champ est l'identificateur de l'ancre SQL dynamique de cache de package pour l'instruction courante. La valeur de ce champ est 0 si aucune instruction courante n'existe. L'identificateur d'ancre courant est renseigné uniquement lorsque l'application exécute une demande relative à une instruction, telle qu'une demande FETCH sur un curseur. Lorsque le traitement de la demande est terminée, les valeurs indiquent 0. La valeur est aussi égale à 0 pour les instructions SQL statiques.
C-StmtUID
Ce nouveau champ est l'identificateur unique d'instruction SQL dynamique de cache de package dans l'ancre de l'instruction courante. La valeur de ce champ est 0 si aucune instruction courante n'existe. L'identificateur unique de l'instruction courante est renseigné uniquement lorsque l'application exécute une demande relative à l'instruction. Lorsque l'exécution de la demande est terminée, les valeurs indiquent 0. La valeur est aussi égale à 0 pour les instructions SQL statiques.
L-AnchID
Ce nouveau champ est l'identificateur d'ancre SQL dynamique de cache de package de la dernière instruction exécutée par l'application. La valeur de ce champ est 0 si aucune instruction exécutée dernièrement n'existe (si notamment aucune instruction n'est exécutée avant une instruction SQL dynamique). La valeur est aussi égale à 0 pour les instructions SQL statiques. Le dernier identificateur d'ancre est renseigné à la fin de chaque exécution de demande et continue d'exister jusqu'à achèvement de la demande associée suivante.
L-StmtUID
Ce nouveau champ est l'identificateur unique d'instruction SQL dynamique de cache de package dans l'ancre de la dernière instruction exécutée par l'application. La valeur de ce champ est 0 si aucune instruction exécutée dernièrement n'existe ou si la dernière instruction exécutée était une instruction SQL statique. Le dernier identificateur d'instruction est renseigné après que la demande courante est terminée et continue d'exister jusqu'à achèvement de la demande suivante.

Mise à jour de la commande SET CLIENT

La commande SET CLIENT spécifie les paramètres de connexion du processus expéditeur.

Le paramètre SYNCPOINT de cette commande est ignoré à partir de la version 8. SYNCPOINT est conservé à des fins de compatibilité amont.

Mise à jour de la commande PRECOMPILE

La commande PRECOMPILE traite un fichier source de programme d'application contenant des instructions SQL imbriquées. Un fichier source modifié est généré, il contient des appels en langage hôte pour SQL et, par défaut, un module est créé dans la base de données.

Le paramètre SYNCPOINT de cette commande est ignoré à partir de la version 8. SYNCPOINT est conservé à des fins de compatibilité amont.

Mise à jour de la commande UPDATE HISTORY FILE

Elle met à jour l'emplacement, le type d'unité ou le commentaire d'une entrée de fichier historique.

Le paramètre de commande STATUS spécifie un nouvel état pour une entrée.

La documentation précédente indique, à tort, que le paramètre de commande STATUS peut avoir la valeur «I» pour marquer l'entrée comme inactive. Les valeurs correctes sont :

A
Marque l'entrée comme active.
E
Marque l'entrée comme expirée.

Mises à jour des commandes EXPORT et IMPORT

Voici la sous-section «Connexion requise» complète relative aux commandes EXPORT et IMPORT :

Connexion requise

Base de données. Si la connexion implicite est activée, une connexion à la base de données par défaut est établie. L'accès de l'utilitaire aux serveurs de base de données Linux, UNIX, ou Windows, à partir de clients Linux, UNIX, ou Windows doit se faire par une connexion directe via le moteur et non par l'intermédiaire d'une passerelle ou d'un bouclage DB2 Connect.

Mise à jour de la commande LOAD

Les informations complètes concernant la valeur AUTOSELECT du paramètre INDEXING MODE sont les suivantes :

INDEXING MODE

AUTOSELECT
L'utilitaire de chargement choisira automatiquement entre les modes REBUILD et INCREMENTAL. Ce choix dépend du volume de données chargées et de la profondeur de l'arborescence de l'index. Les informations relatives à la profondeur de l'arborescence de l'index sont stockées dans l'objet index. RUNSTATS n'est pas nécessaire pour insérer ces informations. AUTOSELECT est le mode d'indexation par défaut.

Modificateurs de type de fichier pour l'utilitaire de chargement

La commande SET INTEGRITY figurant dans la description du modificateur «generatedoverride» a été mise à jour.

La description du modificateur «usedefaults» a également été mise à jour.

Les mises à jour sont les suivantes :

Tableau 30. Modificateurs de type de fichier valides pour le chargement : tous les formats de fichiers
Modificateur Description
generatedoverride Ce modificateur demande à l'utilitaire de chargement d'accepter les données fournies par l'utilisateur pour toutes les colonnes générées dans la table (contrairement aux règles habituellement appliquées à ces types de colonnes). Ceci est utile lors de la migration de données d'un autre système de base de données ou lors du chargement d'une table à partir de données récupérées à l'aide de l'option RECOVER DROPPED TABLE sur la commande ROLLFORWARD DATABASE. Lors de l'utilisation de ce modificateur, les lignes dépourvues de données ou dotées de données NULL seront refusées (SQL3116W) pour une colonne n'admettant pas les valeurs NULL (non-nullable).
Remarque :
Si ce modificateur est utilisé, la table sera placée à l'état CHECK PENDING. Pour retirer la table de l'état CHECK PENDING sans vérifier les valeurs fournies par l'utilisateur, lancez la commande suivante après l'opération de chargement :
SET INTEGRITY FOR < nom-table > GENERATED COLUMN 
  IMMEDIATE UNCHECKED
Pour retirer la table de l'état CHECK PENDING et provoquer la vérification des valeurs fournies par l'utilisateur, lancez la commande suivante après l'opération de chargement :
SET INTEGRITY FOR < nom-table > IMMEDIATE CHECKED.

Ce modificateur ne peut pas être utilisé avec le modificateur generatedmissing ou generatedignore.

usedefaults Si une colonne source correspondant à une colonne de table cible est spécifiée alors qu'elle ne contient pas de données pour une ou plusieurs instances de ligne, des valeurs par défaut sont chargées. Exemples de données manquantes :
  • Pour des fichiers DEL : deux délimiteurs de colonnes successifs (",,") ou séparés par un nombre arbitraire d'espaces (", ,") sont spécifiés pour une valeur de colonne.
  • Pour des fichiers DEL/ASC/WSF : ligne dotée d'un nombre de colonnes insuffisant ou qui est trop courte pour la spécification d'origine.
    Remarque :
    Pour les fichiers ASC, les valeurs de colonne NULL ne sont pas considérées comme explicitement manquantes ; aucune valeur par défaut ne leur sera substituée. Les valeurs de colonne NULL sont représentées par tous les caractères d'espacement utilisés pour les colonnes numériques, de date, d'heure et d'/horodatage, ou à l'aide de NULL INDICATOR pour une colonne, quel que soit son type, pour indiquer que la colonne est NULL.
Sans cette option, si une instance de ligne d'une colonne source ne contient pas de données, l'un des cas suivants se présente :
  • Pour les fichiers DEL/ASC/WSF : si la colonne admet une valeur NULL, celle-ci est chargée. Dans le cas contraire, l'utilitaire rejette la ligne.

Modificateurs de type de fichier pour l'utilitaire d'importation

La description des modificateurs «usedefaults» et «codepage=x» a été mise à jour comme suit :

Tableau 31. Modificateurs de type de fichier valides pour l'importation : tous les formats de fichiers
Modificateur Description
usedefaults Si une colonne source correspondant à une colonne de table cible est spécifiée alors qu'elle ne contient pas de données pour une ou plusieurs instances de ligne, des valeurs par défaut sont chargées. Exemples de données manquantes :
  • Pour des fichiers DEL : deux délimiteurs de colonnes successifs (",,") ou séparés par un nombre arbitraire d'espaces (", ,") sont spécifiés pour une valeur de colonne.
  • Pour des fichiers DEL/ASC/WSF : ligne dotée d'un nombre de colonnes insuffisant ou qui est trop courte pour la spécification d'origine.
    Remarque :
    Pour les fichiers ASC, les valeurs de colonne NULL ne sont pas considérées comme explicitement manquantes ; aucune valeur par défaut ne leur sera substituée. Les valeurs de colonne NULL sont représentées par tous les caractères d'espacement utilisés pour les colonnes numériques, de date, d'heure et d'/horodatage, ou à l'aide de NULL INDICATOR pour une colonne, quel que soit son type, pour indiquer que la colonne est NULL.
Sans cette option, si une instance de ligne d'une colonne source ne contient pas de données, l'un des cas suivants se présente :
  • Pour les fichiers DEL/ASC/WSF : si la colonne admet une valeur NULL, celle-ci est chargée. Dans le cas contraire, l'utilitaire rejette la ligne.

Tableau 32. Modificateurs de type de fichier valides pour l'importation : formats de fichier ASCII (ASC/DEL)
Modificateur Description
codepage=x x est une chaîne de caractères ASCII. Sa valeur est interprétée comme étant la page de codes des données de l'ensemble de données de sortie. Ce modificateur convertit les données de type caractères de cette page de codes en page de codes de l'application lors de l'opération d'importation.

Les règles suivantes s'appliquent :

  • Les jeux de caractères à deux octets purs (graphique) et mixtes, le code EUC et les délimiteurs sont compris entre x00 et x3F, inclus.
  • nullindchar doit spécifier des symboles faisant partie du jeu ASCII standard, entre les points de code x20 et x7F, inclus. Ceci fait référence aux symboles ASCII et aux points de code.
Remarques :
  1. Le modificateur codepage ne peut pas être utilisé avec le modificateur lobsinfile.
  2. Si une expansion des données se produit lors de la conversion de la page de codes, de l'application à la base de données, les données risquent d'être tronquées ou perdues.

Commande ATTACH

Le paramètre USER de la commande ATTACH spécifie l'identificateur d'authentification. Lorsque vous utilisez cette commande avec une instance DB2 Universal Database sous Windows, le nom d'utilisateur peut être spécifié dans un format compatible avec le gestionnaire SAM (Security Account Manager) de Microsoft Windows NT. Le qualificatif doit être un nom de style NetBIOS, avec un longueur maximum de 15 caractères. Par exemple, nomdomaine\nomutilisateur.

Commande RECOVER DATABASE

Dans la section Exemples de la commande RECOVER DATABASE de la documentation de la version 8.2, les horodatages sont présentés dans un format incorrect (aaaa:mm:jj:hh:mm:ss).

Le bon format est aaaa-mm-jj-hh.mm.ss

Commande UPDATE HISTORY FILE

La commande UPDATE HISTORY FILE permet de mettre à jour l'emplacement, le type d'unité, les commentaires ou l'état d'une entrée de fichier historique.

Mise à jour de la syntaxe de commande
Lire le diagrammeSauter le diagramme>>-UPDATE HISTORY--+-FOR--object-part-+--WITH------------------->
                   '-EID--eid---------'
 
>--+-LOCATION--new-location--DEVICE TYPE--new-device-type-+----><
   +-COMMENT--new-comment---------------------------------+
   '-STATUS--new-status-----------------------------------'
 
Mise à jour des paramètres de commande
FOR object-part
Spécifie l'identificateur pour l'entrée d'historique à mettre à jour. Il s'agit d'un horodatage avec un numéro de séquence complémentaire allant de 001 à 999.
Remarque :
Ne peut pas être utilisé pour mettre à jour l'état de l'entrée. Pour mettre à jour l'état de l'entrée, spécifiez un EID à la place.
STATUS new-status
Spécifie un nouvel état pour une entrée. Seules les entrées sauvegardées peuvent avoir leur état mis à jour. Les valeurs correctes sont :
A
Active. La plupart des entrées sont actives.
I
Inactive. Les images de sauvegarde qui ne sont plus dans la chaîne de journal active deviennent inactives.
E
Expiré. Les images de sauvegarde ne sont plus requises parce qu'il y a plus de NUM_DB_BACKUPS. Les images actives sont marquées comme étant expirées.
D
Les images de sauvegarde qui ne sont plus disponibles pour la récupération doivent être marquées comme ayant été supprimées.
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db2updv8 - Mise à jour de la base de données avec la commande de niveau actuel version 8

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Cette commande met à jour les catalogues système dans une base de données afin de prendre en charge le niveau en cours :

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|Autorisation |

sysadm

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|Connexion requise |

Base de données. Cette commande établit automatiquement une connexion à la base de données spécifiée.

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|Syntaxe de commande |
Lire le diagrammeSauter le diagramme|>>-db2updv8-- -d--nom-bdd--------------------------------------->
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|>--+---------------------------------+--+-----+----------------><
|   '- -u--id-util-- -p--mot-de-passe-'  '- -h-'
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|Paramètres de commande |
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-d database-name
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Spécifie le nom de la base de données à mettre à jour |
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-u userid
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Spécifie l'ID utilisateur. |
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-p password
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Spécifie le mot de passe utilisateur. |
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-h
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Affiche des informations d'aide. Lorsque cette option est spécifiée, toutes les autres options sont ignorées et seules |les informations d'aide sont affichées. |
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|Exemple |

Une fois le niveau actuel installé (FixPack ou nouvelle version), mettez à jour le catalogue système |dans le modèle de base de données en émettant la commande suivante : |

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db2updv8 -d sample
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|Remarques |
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  1. Cette commande ne peut être utilisée que sur une base de données exécutant DB2 Universal Database version 8.1.2 ou ultérieure. Si la commande est émise plus d'une fois, aucune erreur n'est rapportée et chacune des mises à jour de catalogue |n'est appliquée qu'une fois.
  2. |
  3. Pour activer les nouvelles fonctions intégrées, toutes les applications doivent se déconnecter de la base de données et la base de données doit être désactivée si elle a été activée.

Formatage de fichiers de déroutement (Windows)

Un nouvel outil, db2xprt.exe, est disponible pour le formatage des fichiers de déroutement (*.TRP). Cet outil formate les fichiers de déroutement binaires de DB2 Universal Database en un fichier ASCII lisible par l'utilisateur. Les fichiers de déroutement sont situés par défaut dans le répertoire d'instance (DB2INSTPROF) ou sur le chemin d'accès au répertoire des données de diagnostic si le paramètre de configuration du gestionnaire de bases de données DIAGPATH est défini.

Autorisation

Vous devez avoir accès au répertoire DIAGPATH.

Syntaxe de commande

Lire le diagrammeSauter le diagramme>>-db2xprt--+------------+--+----+--+----+---------------------->
            +-/p--chemin-+  '-/m-'  '-/n-'
            '-/v---------'
 
>--fichier-ent--+-------------+--------------------------------><
                '-fichier-sor-'
 
Paramètres de commande

/p chemin
Un chemin séparé par point virgule (;) pointant vers l'emplacement ou les emplacements des fichiers binaires et PDB.
/v
Affiche les informations relatives à la version.
/m
Formate un vidage mémoire avec le reste du fichier de déroutement.
/n
Formate les données sans prise en compte des informations de numéros de ligne.
fichier-ent
Spécifie le fichier d'entrée.
fichier-sor
Spécifie le fichier de sortie.
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